Resources for Education: Human Rights and the Canadian System for Redistribution of Public Funds
Année :
1986
Auteur(e) :
Volume et numéro :
, 11
Collection :
, 3
Revue :
, Canadian Journal of Education / Revue canadienne de l'éducation
Pages :
, 353-363
Résumé
Les revenus et les emplois ne sont pas distribués également entre les Canadiens; comment pourrait-il en être autrement en ce qui concerne les chances en éducation? Cet article analyse trois aspects d'une mauvaise distribution possible: les Canadiens en moyens eroient-ils qu'il soit nécessaire ou qu'il vaille la peine d'envoyer leurs enfants dans des écoles privées; la pauvreté prive-t-elle les citoyens des services éducatifs ou les oblige-t-elle à se contenter de moins bous services; le coût d'un service éducatif spécial répondant aux besoins d'un individu ou d'un groupe est-il le facteur qui détermine s'il sera créé et à quel moment il le sera? Les écoles privées sont rarement établies à cause d'une mauvaise qualité des écoles publiques. On les crée plutôt pour répondre à des besoins religieux ou de langue. La pauvreté mène à l'auto-sélection et au regroupement; cependant, il y a des systèmes de transfert d'impôts qui permettent aux provinces ou aux conseils scolaires d'offrir de bonnes écoles dans les communautés défavorisées. Le coût évidemment limite les services spécialisés.
Incomes and employment are not uniformly distributed; how can it be otherwise for educational opportunities? Three aspects of potential maldistribution are examined here: whether rich Canadians find it necessary or worthwhile to send their children to private schools, whether poverty deprives citizens of educational services or forces them to endure inferior services, and whether the cost of a special educational service required by an individual or group determines if or where it will be available? Private schools are rarely introduced because of poor schools in the public sector. Religious or language goals are typical. Poverty causes self-selection and streaming, but there are tax transfer systems to enable provinces or boards to offer good schools in poor communities. Costs evidently limit special services.
Incomes and employment are not uniformly distributed; how can it be otherwise for educational opportunities? Three aspects of potential maldistribution are examined here: whether rich Canadians find it necessary or worthwhile to send their children to private schools, whether poverty deprives citizens of educational services or forces them to endure inferior services, and whether the cost of a special educational service required by an individual or group determines if or where it will be available? Private schools are rarely introduced because of poor schools in the public sector. Religious or language goals are typical. Poverty causes self-selection and streaming, but there are tax transfer systems to enable provinces or boards to offer good schools in poor communities. Costs evidently limit special services.
Thème :
DroitÉducationFinancementSalaireTravail
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