Being a Francophone Parent with Children in Dutch-medium Education in Brussels: A Tale of Tensions and Competing Discourses
Année :
2016
Auteur(e) :
Volume et numéro :
, 7
Directeur(s) :
, Marie-Odile Magnan et Patricia Lamarre (dir.)
Revue :
, Minorités linguistiques et société / Linguistic Minorities and Society
Pages :
, p. 195–211
Résumé
Dans la région officiellement bilingue (français–néerlandais) de Bruxelles Capitale (Belgique), l’éducation est organisée en deux systèmes parallèles mais distincts (francophone-néerlandophone). Les parents doivent choisir d’inscrire leurs enfants dans l’un ou l’autre de ces systèmes d’éducation. Ce choix peut générer des questions liées à l’identité, comme l’idée – enracinée dans le nationalisme – qu’« être un locuteur français » et « d’inscrire ses enfants à un enseignement dispensé en néerlandais » sont des options d’identité qui sont par définition incompatibles. Dans cet article, je présente le cas d’un couple francophone qui a décidé d’inscrire ses enfants dans une école néerlandophone. Même si cette décision a rapproché les parents des réseaux sociaux néerlandophones, elle a également mis en relief les tensions entre les diverses options d’identité linguistique disponibles. L’étude montre comment ces parents, en tentant de faire face à ces tensions, font appel à des discours assez différents et parfois contradictoires sur la langue et l’appartenance.
Mots clés : identité linguistique, parents, Belgique, analyse de discours, hybridité
Mots clés : identité linguistique, parents, Belgique, analyse de discours, hybridité
Thème :
Identité
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